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Carnets de jardin

30 juin 2013

Pivoines, un mois de retard...

Je ne résiste pas au plaisir de vous montrer cette série de photos.

Les filles jouant avec les pétales de pivoines tombées au sol, l'Homme du jardin a eu la présence d'esprit de faire des prises de vue en rafale !

Ici, la floraison des pivoines a eu un mois de retard environ par rapport aux autres années: début juin contre début mai habituellement. Cette touffe de pivoines herbacées est très ancienne (probablement 30 ans).

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Je vous suggère d'autres articles sur les pivoines:

Un soutien pour les pivoines, structure en noisetier: c'est ici

Présentation générale du jardin: c'est ici

Pour finir, quelques clichés plus rapprochés de cette très belle pivoine:

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Après recherche, je pense qu'il s'agit de 'Festiva Maxima', mais si vous lui connaisser un autre nom, n'hésitez pas à me donner votre avis en commentaire.

A bientôt

Céline

 

 

 

 

 

 

 

 

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30 juin 2013

Pourpier sauvage, mauvaise herbe ou salade ?

Un appel aux jardinautes, j'ai une plante annuelle envahissante qui pousse dans mon jardin dans une zone plutôt caillouteuse et sèche. Cette année, avec la pluie abondante du printemps, elle forme de belles touffes plantureuses. Je pense avoir identifié cette plante comme étant du pourpier.

Pensez-vous que je puisse en récolter les feuilles pour la consommer en salade ? Ce n'est probablement pas la même espèce que celle dont on trouve les graines à semer au potager. Ses tiges sont rouges.

Il paraît que c'est très bon et riche en vitamines, mais je n'ose pas me lancer...

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Est-ce que quelqu'un a déjà essayé ?

Merci pour votre aide.

Céline

9 mai 2013

La Pyrale du buis, elle est de retour !

A première vue, tout va bien ... Ce buis est tout beau tout vert dans son écrin de myosotis...

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Mais en regardant de plus près... elle est de retour... la Pyrale du buis, cette petite chenille qui fait un festin des petites feuilles tendres du buis. L'Homme du jardin en a extirpé une petite dizaine avec une pince... puis à sorti son pulvérisateur... c'est le seul moyen, la lutte biologique ne fonctionne pas. Nous utilisons un produit vendu pour traiter le ver du poireau, cela marche sur les chenilles, bien pulvériser au coeur de la plante.

Revoir cet article de l'année dernière: http://celinejardine.canalblog.com/archives/2012/05/03/24167247.html

Nous lui avons tiré le portrait pour vous:

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les recommandations de la Société Alsacienne d'Entomologie pour la lutte contre cette chenille:

LUTTE :

Dans le cas d'un petit nombre de buis de petite taille, il est
possible d'enlever les chenilles manuellement et de les tuer. La
chenille n'est pas urticante.

Nous avons reçu de nombreux témoignages de personnes ayant utilisé des
insecticides "bio" par exemple à base de Bacillus thuringiensis (BT)
contre la Pyrale du buis. L'efficacité et variable et aléatoire. C'est
pourquoi, il faut vous faire conseiller en jardinerie pour un produit
réellement efficace sur les chenilles, comme par exemple certaines
pyréthrinoïdes.

Il faut pulvériser l'intérieur du buis en écartant les rameaux, car
les chenilles vivent cachées.

Après un traitement, il est bon de s'assurer que celui-ci à bien
fonctionné quelques jours après la pulvérisation. Après une pluie,
l'insecticide risque fort bien d'être lessivé et donc le traitement
inefficace.

Par la suite, les prochains mois de l'année, continuer à suivre
régulièrement vos buis et en cas d'une nouvelle infestation,
renouveler le traitement. Plusieurs cycles de reproduction ont lieu
par an.

Pour lutter contre ces chenilles, il n'est probablement pas nécessaire
d'arracher vos buis lorsqu'ils sont fortement défoliés. Quelques
traitements insecticides périodiques devraient parvenir à les protéger
et leur permettre de renouveler leur feuillage. Par contre, en
l'absence de traitement, les chenilles consommeront les nouvelles
feuilles et ces arbustes mourront.

Toutefois, si vous décidez de les arracher. L'idéal serait de les
brûler (pas en ville !) ou de les traiter avant à l'insecticide. Il
est aussi possible de noyer les chenilles en trempant l'ensemble de
l'arbuste dans une bassine remplie d'eau et obligatoirement d'un peu
de liquide vaisselle. Autrement, il y risque de contribuer à la
propagation de ce ravageur (des chenilles pouvant achever leur
développement dans les bennes des déchèteries) !

 

8 mai 2013

Un coin d'ombre au printemps

Un coin toujours à l'ombre derrière une haie et sous le sureau. Des fleurs à l'ombre? C'est possible!

Un peu de muguet, des primevères blanches (un plant donné par une voisine, elle se ressème et je la laisse faire, je déplace les nouveaux plants si l'emplacement ne me convient pas) et de l'ail des ours. En été, ce coin toujours frais est envahi de menthe et de mélisse (à nous les tisanes et cocktails !). La colonie que vous voyez en arrière plan est un groupe de Lysimaque ponctuée qui  fleurira plus tard.

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La fleur de l'ail des ours est vraiment élégante. C'est une plante que l'on trouve dans les bois à l'état sauvage tout comme le muguet, moi j'en ai acheté un pied en jardinerie il y a 3 ou 4 ans et il s'est multiplié tout seul. Avant l'apparition des fleurs, on peut récolter ses feuilles pour parfumer les salades ou ciseler sur du fromage blanc, par exemple. J'ai trouvé une recette de pesto d'ail des ours ici.

A bientôt

Céline

 

8 mai 2013

Le réveil du jardin (et de la jardinière)...

Vive le printemps !

Une photo prise fin avril, lorsque le cerisier était simultanément en fleur avec le groupe de tulipe jaune.

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Conciliabule au jardin:

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Ce hosta en pot qui est en train de dépoyer ses feuilles (photo prise fin avril) est parfait pour nous protéger de la pluie !

A bientôt

Céline

 

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31 août 2012

Clôtures traditionnelles

Un petit montage pour vous avec quelques clichés de clôtures de bois vues dans le Tirol autrichien. Ces clôtures en plus d'être faciles à mettre en place, pouvant suivre les reliefs du terrain, ont le bon goût de s'intégrer parfaitement au paysage. Ca vous inspire ?

                 (un petit clic sur la photo pour agrandir)

Clôtures traditionnelles Autriche 2012

A bientôt

Céline

27 août 2012

Carte postale d'Autriche, les fleurs en montagne

Un petit montage avec quelques clichés rapportés du Tirol autrichien.

Autriche2012 Fleurs

Beaucoup de balconnières dégoulinantes de fleurs, entretenues avec soin. Les annuelles sont idéeales à la montagne car elles permettent un fleurissement abondant et rapide comme si les gens avaient un besoin de couleurs très vives et d'exubérance après le long hiver. Côté vivaces, en altitude la belle saison est courte donc que du classique et du robuste. Nous sommes tombé sur ces Edelweiss dans un massif, il y en avait de deux variétés différentes l'une ayant de plus grosses fleurs. Beaucoup de vert entre les habitations avec des prairies naturelles fauchées tardivement et d'autres tondues rases très régulièrement.

A bientôt

Céline

25 août 2012

Oh, des haricots violets !

Haricots rame mangetout à cosse violette (semence Gondian). Prévoir des rames de 2 m de haut. Croissance rapide, très tendre et sans fils, même récoltés un peu gros. Deviennent d'un beau vert foncé après cuisson. 

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Pour voir la photo mise en scène façon scrapbooking, c'est par ici !

A bientôt

Céline

3 août 2012

Un jardin de montagne dans les Vosges alsaciennes

Je vous présente le jardin de Josiane et Philippe, situé dans un village des Vosges alsaciennes à 500 m d'altitude.

Des rocailles et massifs de fleurs à dominante jaune ainsi que de nombreux pots d'annuelles devant la maison, les zones de circulation sont gravillonnées. La pierre ? évidemment le grés des Vosges ! 

Une terrasse en bois à l'arrière de la maison surplombe la partie en pente du jardin plantée d'arbustes et de buissons à fleurs. Des pelouses toujours vertes en raison de l'humidité apportée par le ruisseau naturel qui traverse le jardin, sont tondues rases toutes les semaines au printemps et en été. Une petite pièce d'eau d'allure très naturelle et un vieux tilleul à la ramure très dense animent la partie basse.

Le jardin est entouré d'ifs taillés en courbes. La partie d'agrément est prolongée d'un potager, cloisonné, puis un portillon mène dans un verger. Au bout... la forêt.

Les fleurs annuelles préférées de Josiane et Philippe, cosmos sulfureux, rudbekia et tagettes (à fleurs simples), dont il font leurs propres semis chaque année.

 

jardin Josianeredim

A bientôt

Céline

31 juillet 2012

Fleurs d'artichaud

Les photos sont de l'année dernière, mais nous avons réussi à garder le plant cet hiver (malgré les -12°C en février) avec un gros tas de feuilles mortes broyées en protection. En fait le pied principal qui a porté les fleurs se dessèche au profit de rejets qui se développent à la base du plant.

Il est installé en situation très protégée à l'avant de la maison, en plein soleil. Au printemps, il meuble bien l'espace en développant ses grandes et belles feuilles découpées aux reflets gris.

La fleur est très spectaculaire, d'un mauve très vif, presque fluo difficile à capter en photo. Voilà de quoi intriguer les passants, car l'artichaud, même au potager est très peu cultivé en Alsace !

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J'ai remarqué que cette année les fleurs sont plus petites, je pense que c'est un gros gourmand et qu'il faut fertiliser à l'automne, ce que je vais faire cette année avec de l'Or brun en granulés à libération lente.

Pour voir ces photos mises en scène pour l'album photo familial, c'est par ici, côté scrap.

A bientôt

Céline

 

19 juillet 2012

courges siciliennes

Voici une expérience potagère que nous avons menée en 2010 et que je partage aujourd'hui avec vous. Des graines d'une courge sicilienne rapportées par mon Papa, ont été semée, puis les petits plants repiqués au pied du cerisier, faute de structure pour les faire grimper (on nous avait dit que ça poussait beaucoup !)

L'un des plants de plus près, à première vue ça ressemble à un pied de courgette:

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Les deux plants installés au pied du cerisier avec un système de cordes tendues par l'Homme du jardin histoire de les aider à grimper: 

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Quelques jours plus tard, ça commence à pousser:

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de puissantes vrilles s'ariment aux cordes:

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Quelques semaines plus tard, elles atteignent la ramure:

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ensuite elles vont se débrouiller toutes seules, puis viennent les fruits, longs et fins (près d'un mètre de long):

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l'heure de la récolte arrive, il faut trouver une solution, l'Homme du jardin bricole un cueille-fruit avec un échenilloir téléscopique et une housse de siège de camping cylindrique:

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un peu de patience et d'adresse:

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Et voilà le spécimen, dans les bras de Valentine (7 ans à l'époque), pour vous donner une idée de sa taille:

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Après quelques recherches, j'ai trouvé des informations à propos de cette courge. Elle est de la famille des calebasses. Les siciliens la nomment 'zucca da pergola', car ils la font souvent pousser sur des pergola dont les fruits pendent joliment. Son nom botanique est Lagenaria longissima. Il existe une variante dont les fruits prennent une forme enroulée appelée 'zucca serpente'. Je n'ai pas pensé à faire une photo des fleurs qui sont blanches et très différentes des fleurs de courgettes ou potirons.

En Sicile elle est la base d'une soupe du type minestrone, ses jeunes pousses appelées 'tenerumi' sont très recherchées et vendues fraîches sur les marchés pour agrémenter soupes et pâtes, voir cet article en anglais.

Pour ma part, j'ai fait des grattins et veloutés classiques comme avec les courgettes. La saveur est douce et agréable, même si un peu fade, à relever donc d'un peu d'ail et piment d'espelette.

D'après mes recherches, le même légume est cultivé au Maroc et connu sous le nom de 'slaoui' où il remplace souvent la courgette dans les tajines et couscous.

Si vous êtes intéressés, je vous donne rendez-vous côté scrapbooking pour voir une page sur le sujet.

A bientôt

Céline

  

 

3 mai 2012

La Pyrale du buis

Je reprends le clavier sur ce blog délaissé depuis longtemps pour vous parler d'une mystérieuse chenille qui s'est attaqué à mon buis en pot depuis l'année dernière. Je viens de l'identifier et il s'agit de la Pyrale du buis, de son petit nom Diaphania perspectalis qui est en fait une nouvelle espèce d'insecte envahissante venant d'Asie et qui s'attaque exclusivement au buis. Elle a été repérée pour la première fois en Allemagne en 2007, en France, elle ne touche pour l'instant que l'Alsace, mais est à surveiller de près.

Source: http://sites.estvideo.net/sae/pyrale_du_buis.html

L'article sur Wikipedia est bien fait également: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pyrale_du_buis

J'ai évidemment signalé ma découverte à la Société Alsacienne d'Entomologie.

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Si vous possédez des buis qui dépérissent (feuillages qui se décolorent et présences de soies), inspéctez les de près, car elles se cachent dans le feuillage et sont difficiles à repérer. L'Homme du jardin en a retiré une bonne vingtaine à l'aide d'une petite pince. Ne voulant pas propager l'insecte (il peut y avoir jusqu'à 4 générations par an, c'est dire si la lutte chimique ou par ramassage semble vaine), nous avons sacrifié la plante contaminée selon les recommandations de la Société Alsacienne d'Entomologie. Surtout ne pas mettre au compost ni dans les bennes à déchets verts, les chenilles y termineront leur développement et les papillons iront conquérir d'autres plants. 

Voilà, je vous laisse méditer sur cette triste nouvelle.

Je ne sais si ce blog trouverait toujours audience parmis les passionnés de jardins et me demande si ça vaut la peine de préparer d'autres articles. J'avais un peu l'impression d'avoir fait le tour, ayant un petit jardin. Mais peut-être êtes vous intéressés tout de même d'avoir des nouvelles du potager de poche et de mon hosta en pot ?

Céline

EDIT du 29 mai 2012, voici les recommandations de la Société Alsacienne d'Entomologie pour la lutte contre cette chenille:

LUTTE :

Dans le cas d'un petit nombre de buis de petite taille, il est
possible d'enlever les chenilles manuellement et de les tuer. La
chenille n'est pas urticante.

Nous avons reçu de nombreux témoignages de personnes ayant utilisé des
insecticides "bio" par exemple à base de Bacillus thuringiensis (BT)
contre la Pyrale du buis. L'efficacité et variable et aléatoire. C'est
pourquoi, il faut vous faire conseiller en jardinerie pour un produit
réellement efficace sur les chenilles, comme par exemple certaines
pyréthrinoïdes.

Il faut pulvériser l'intérieur du buis en écartant les rameaux, car
les chenilles vivent cachées.

Après un traitement, il est bon de s'assurer que celui-ci à bien
fonctionné quelques jours après la pulvérisation. Après une pluie,
l'insecticide risque fort bien d'être lessivé et donc le traitement
inefficace.

Par la suite, les prochains mois de l'année, continuer à suivre
régulièrement vos buis et en cas d'une nouvelle infestation,
renouveler le traitement. Plusieurs cycles de reproduction ont lieu
par an.

Pour lutter contre ces chenilles, il n'est probablement pas nécessaire
d'arracher vos buis lorsqu'ils sont fortement défoliés. Quelques
traitements insecticides périodiques devraient parvenir à les protéger
et leur permettre de renouveler leur feuillage. Par contre, en
l'absence de traitement, les chenilles consommeront les nouvelles
feuilles et ces arbustes mourront.

Toutefois, si vous décidez de les arracher. L'idéal serait de les
brûler (pas en ville !) ou de les traiter avant à l'insecticide. Il
est aussi possible de noyer les chenilles en trempant l'ensemble de
l'arbuste dans une bassine remplie d'eau et obligatoirement d'un peu
de liquide vaisselle. Autrement, il y risque de contribuer à la
propagation de ce ravageur (des chenilles pouvant achever leur
développement dans les bennes des déchèteries) !

31 août 2010

Le temps des récoltes: la tomate du siècle !

Ce n'est pas une blague: 1,049 kg !

La variété est Supersteak, à conseiller ! Les autres tomates d'un calibre plus "normal" atteignent quand même 400 à 500 g. Nous pratiquons la culture bio, donc pas d'engrais, mais du compost maison. Nous avons échappé au Mildiou grâce à à la bouillie bordelaise appliquée en début de saison, puis juste au bon moment avant la période pluvieuse que nous avons connue fin juillet-début août, coup de chance, car nos voisins ont leurs plants totalement ravagés.

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Bon d'accord, il y a encore un petit truc en plus, le purin de compost. Petit secret de l'Homme du jardin. Si le sujet compost/purin de compost vous intéresse, manifestez-vous via les commentaires. Il partagera peut-être son savoir-faire, mais pour l'instant, il n'a pas l'air très motivé... Il préfère jardiner...

A bientôt

Céline

30 août 2010

Mirabelles, la récolte 2010

Un vieux mirabellier dans notre jardin qui donne un bonne récolte tous les 2 ou 3 ans. J'en profite en général pour faire 6-7 pots de confiture pour tenir jusqu'à la prochaine.

Cette année a été une bonne année: 13,6 kg !

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A bientôt

Céline

26 juin 2010

Brodiaea laxa

Quelques bulbes achetés un jour en jardinerie, un peu au hazard en voyant les jolies fleurs bleues sur la photo de l'emballage. Une partie plantée au pied d'une haie n'a jamais donné que quelues feuilles rubanéees, un autre groupe de trois bulbes planté au pied du noisetier et bien arrosé en hiver puisque le noisetier perd ses feuilles a donné un jour quelques fleurs bleues au bout de plusieurs années.

J'ai donc regroupé le tout à cet endroit pour former une jolie touffe qui s'étoffe d'année en année et porte de jolies fleurs ressemblant à des agapanthes miniatures (environ 25 cm).

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Les fleurs sont jolies, mais ont tendance à se coucher sous l'effet des pluies, le terrain nu autour ne les met pas en valeur (ben oui, pas facile dans cet environnement difficile, sec en été puisque sous le feuillage du noisetier,  de trouver quoi planter), il lui faudrait de la compagnie, un joli feuillage par exemple qui lui serve un peu de soutien, je pense à des heuchères.

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A suivre...

23 juin 2010

Ma plante inconnue: les internautes avaient raison !

Maintenant que les fleurs s'épanouissent, il n'y a plus de doute, il s'agit bien d'un bleuet géant et ... jaune. Son petit nom: Centaurea macrocephala.

Maintenant que j'y réfléchis, elle est probablement issue d'un sachet de graines "mélange fleuri" offert par la Communauté Urbaine de Strasbourg, semé il y a deux ans. Intriguée par cette rosette de grosse feuille qui ne ressemblait pas à mes mauvaises herbes habituelles, je l'avais repiqué là pour voir... Bonne surprise !

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22 juin 2010

Potées fleuries à l'ombre

Beaucoup plus sage et reposant que mon carré plein soleil à l'avant de la maison, à l'arrière, j'ai installé quelques potées d'ombre. Couleurs pastelles et feuillages gris, il faudra les voir quand elles seront un peu plus étoffées:

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impatients, fuchsia, encores de grands classiques, associés à des feuillages décoratifs.

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Cette plante très vaporeuse est une euphorbe hybride 'Diamond frost', vendue comme annuelle dans les jardineries, c'est la première fois que j'essaie...

A suivre

Céline

21 juin 2010

Floraisons contrastées

Les iris c'est fini, voici ce que peuvent découvrir en ce moment les passants dans le petit carré en plein soleil à l'avant de la maison:

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D'un peu plus près, l'Asclépiade au fond (Asclepias syriaca) ou hèrbe aux perruches (pour la forme étrange de ses fruits) fleurit en ce moment. Ses fleurs sont plutôt discrètes et parfumées.

A l'avant l'Hémérocalle fauve qui se fait bien plus remarquer avec sa floraison flamboyante, bien qu'éphémère.

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Il paraît que les fleurs de l'Asclépiade attire les abeilles (ça j'ai pu le vérifier) et les papillons et notamment le Monarque, elle s'est épanouie là, contre ce mur plein Sud, mais n'est normalement pas très rustique par chez nous:

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D'autres vivaces préparent leurs boutons pour prendre le relai dans ce spectacle et en mettre plein la vue  (et les narines) aux passants.

A suivre...

Céline

20 juin 2010

Un petit tour au jardin de l'arrière

Des coquelourdes (Lychnis coronaris), encore un classique ! J'aime bien son feuillage gris et son port très dressé, elles sont accompagnées de mauves qui fleurissent plus tard et à l'avant des petits fraisiers type "fraises des bois" (Reines des vallées), c'est décoratif et ça produit tout le temps, les enfants s'y arrêtent toujours pour picorer un peu. Tout à droite des oeillets de poète (Diantus barbatus), très facile à obtenir par semis.

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Sous le noisetier, Geranium sanguineum striatum aux fleurs toutes décicates et froissées et au feuillage finement découpé:

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Geranium endressii qui forme de beaux coussins opulents, accompagné d'une campanule au feuillage doré dont j'ai pardu le nom:

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un autre massif, Geranium 'Johnson's Blue' et Alchemilla mollis avec le feuillage rubané d'une Hémérocalle qui fleurira plus tard:

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Le Geranuim 'Johnson's Blue' d'un peu plus près:

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Le même massif vu sous un autre angle, alchémilles, heuchère pourpre, au milieu le rosier ancien 'Jacques Cartier', Geranium andressii, knauties avec leurs longues tiges ramifiées et un if taillé en cône sur la gauche:

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Rose ancienne 'Jacques Cartier' (production delbard), très parfumée:

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Fleur de knautie, elles se balances aux bout de longues tiges et sont donc à planter parmi des plantes plus buissonnantes pour leur apporter un soutien:

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A suivre...

Céline

19 juin 2010

Des nouvelles des greffes d'aubergines

Quelques nouvelles, pour voir la première étape, allez

L'étape suivante, quinze jours plus tard,  consiste à limiter le feuillage de la tomate (celle de gauche a cassé toute seule un peu trop tôt sous l'effet d'un coup de vent, nous verrons si cela a des conséquences sur le résultat final):

P1050386

parallèlement, il faut entailler la base de la tige de l'aubergine pour affaiblir les racines, je ne sais pas si c'est très visible sur ce cliché, la tige de droite est celle de l'aubergine:

P1050387

A suivre

Céline

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